Top 14 – Les chiffres à connaître avant la 15e journée : le sécateur Ibrahim Diallo, Lyon en difficulté à Bordeaux… - Rugbyrama

[webmaster]

L'abattage défensif d'Ibrahim Diallo, la difficulté du Lou à Chaban-Delmas, Jack Willis en poison du jeu au sol, Clermont et Pau indisciplinés... Voici les chiffres à connaître avant la 15e journée de Top 14.

Lire la suite ...

 

[Carto]

Top 14 – Les chiffres à connaître avant la 15e journée : le sécateur Ibrahim Diallo, Lyon en difficulté à Bordeaux…​

La rédaction de Rugbyrama

• 
  Diallo est actuellement le meilleur plaqueur du Top 14 avec pas moins de 139 plaquages à son actif Icon Sport - Icon Sport

Publié le 25/01/2025 à 10:01
Partager :

• 
  
• 
  

L'abattage défensif d'Ibrahim Diallo, la difficulté du Lou à Chaban-Delmas, Jack Willis en poison du jeu au sol, Clermont et Pau indisciplinés... Voici les chiffres à connaître avant la 15e journée de Top 14.

• 
  

  139 plaquages : un sécateur nommé Diallo​

Après quatorze journées, le Racing 92 n’est pas au mieux, englué à la neuvième place du classement. Pourtant, le club francilien peut compter depuis le début de l’exercice sur un Ibrahim Diallo irrésistible. Le flanker ciel et blanc remue de la viande sans compter. Alors qu’il a pris part à douze rencontres de championnat, Diallo est actuellement le meilleur plaqueur du Top 14 avec pas moins de 139 plaquages à son actif. Il en compte quinze de plus que son dauphin, le Vannetais Sione Kalamafoni (124). C’est le Clermontois Fritz Lee qui complète le podium avec 120 interventions réussies en défense.

• 
  

  14 grattages : Willis roi du jeu au sol​

Il n’y a pas qu’en Champions Cup que Jack Willis domine le jeu au sol. Dimanche dernier, le troisième ligne toulousain s’est fait remarquer avec six ballons grattés face aux Tigers de Leicester. Ce n’est une surprise pour personne : Willis est également royal dans le jeu au sol en Top 14. Avant cette 15e journée, il est le joueur qui a récupéré le plus de munitions dans les rucks. Tenez-vous bien, on en dénombre quatorze en neuf rencontres de disputées pour l’ancien des Wasps. Une statistique qui prouve son importance dans le dispositif d’Ugo Mola. Surtout, l’Anglais est seul sur sa planète. Son poursuivant est le Bayonnais Facundo Bosch, "que" 8.

• 
  

  18 points séparent les défenses de Toulouse et de Montpellier​

Ce match va mettre en scène les deux meilleures défenses du Top 14. Le Stade toulousain, avec seulement 233 points encaissés, possède la meilleure défense du Top 14. Le MHR talonne les Toulousains en occupant la deuxième place, avec 251 points encaissés en quatorze rencontres. La défense, une des grandes vertus de cette équipe montpelliéraine qui doit encore néanmoins progresser en attaque, puisque les Cistes n’occupent que la douzième place au classement des meilleures attaques du Top 14 avec 312 points marqués. Les Toulousains sont deuxièmes avec 404 points inscrits.

• 
  

  2 défaites de Bayonne à Perpignan depuis son retour en top 14​

Deux défaites sans appel. La saison dernière l’Aviron s’est incliné 36 à 10, en 2022-2023, 34 à 27. Et à domicile, les Basques l’ont emporté trois fois mais sur le fil à chaque fois.

• 
  

  20 points : l’écart moyen en défaveur du Lou à Chaban-Delmas​

Lors de ses dix derniers déplacement à Bordeaux, le Lou ne l’a jamais emporté. Pis, il n’en a jamais ramené le moindre point et y a régulièrement subi des défaites cuisantes, puisque les Girondins ont inscrit en moyenne 31,4 points contre 10,9 pour les Lyonnais.

• 
  

  32 cartons jaunes : Pau et Clermont, deux mauvais élèves de discipline​

Avec quinze et dix-sept cartons jaunes concédés, Clermont et Pau ont été trop souvent pénalisés sur la première moitié de la saison. Au classement des exclusions temporaires, l’ASM et la Section figurent, respectivement, à la 10e et 12e position, bien loin derrière l’Usap et Toulouse, avec seulement six cartons jaunes concédés…

• 
  

  35 : le nombre de joueurs vannetais appelés à préparer le match​

Nouveauté, c’est un groupe de 35 joueurs qui a préparé cette semaine la réception du Stade français (au lieu de 45 habituellement). Les explication de Spitzer : "On trouvait que sur le deuxième entraînement de la semaine, on était un peu nombreux, il y avait un peu trop de rotations, de coaching, et on avait une déperdition dans la communication."