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Top 14 - "Là, ça va être la guerre !" Après un réveillon entre Argentins, Joël Sclavi (La Rochelle) promet un menu épicé à ceux de Perpignan - Rugbyra

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Top 14 - "Là, ça va être la guerre !" Après un réveillon entre Argentins, Joël Sclavi (La Rochelle) promet un menu épicé à ceux de Perpignan​


Romain Asselin

  • Joel Sclavi peine à retrouver ses sensations avec La Rochelle
    Joel Sclavi peine à retrouver ses sensations avec La Rochelle Icon Sport - Icon Sport

Publié le 27/12/2024 à 20:00
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Présent en conférence de presse ce vendredi, à l’avant-veille du déplacement à Perpignan (dimanche, 18h, 13e journée de Top 14), le Rochelais Joel Sclavi sait l’importance d’enfin basculer loin de Deflandre. Le pilier international argentin, n°3 des Pumas, évoque aussi sa situation plus délicate en club. Il s’apprête à vivre sa première titularisation de la saison, après quatre entrées en jeu fort mitigées.

Joel, avez-vous fait un asado (barbecue argentin) pour Noël ?
Oui, le 24. J'ai passé le réveillon à Bayonne, avec les Argentins qui jouent là-bas, avec Guido Petti qui joue au Bordeaux et Calles qui joue à Pau. On était nombreux. C’est la famille.

Vous êtes attendu samedi par les Argentins qui jouent à Perpignan et, là, ce ne sera pas la fête…
Oui, il y en a trois (Jerónimo De La Fuente, Joaquín Oviedo, Ignacio) et, là, ça va être la guerre ! (rires)
Comment abordez-vous de déplacement à Aimé-Giral, que vous commencez à bien connaître ?
C'est un stade compliqué parce qu'il y a beaucoup de supporters. Le dernier match qu'on y a joué, la saison dernière, c'était compliqué (défaite 27-15, le 24 février 2024, NDLR). Dès qu'ils font de bonnes actions, ça leur donne beaucoup d'énergie. Il faut y aller pour arrêter ça.
Vous savez cette équipe sous pression, à une 12e place qui n’est pas celle escomptée ?
Oui, mais nous aussi. On est sixièmes alors qu’on avait bien débuté le championnat. Nous aussi, on a la pression. Pas la pression, mais on veut faire un bon match à l'extérieur. Parce que sinon, les premiers deux s’envoleront au classement et, nous, on sera loin.
Evoquez-vous entre vous les performances de Toulouse et Bordeaux à l’extérieur ?
Non, on essaie de parler tout le temps de nous, mais le dernier match à l'extérieur (défaite à Castres), c'était compliqué… On n'a joué qu'une mi-temps. Comme contre Clermont (samedi dernier, à Deflandre). On a joué quarante minutes. On tourne à 17-3 à la mi-temps et on doit tuer le match. On veut faire des matchs pleins. Mais pour le moment, on n'y arrive pas. A l’entraînement, on est bien, mais il faut le transférer en match.
Comment franchir ce palier-là ?
On essaie à l’entraînement de travailler plus, de mettre plus de pression. Aujourd'hui (vendredi), c'était comme une compétition. Il y avait des plaquages, on a fait des séquences longues, c'était un bon entraînement. On va essayer, dimanche, de faire la même chose.
Sentez-vous que l’équipe a encore une belle marge de progression ?
Oui, oui. On parle tout le temps du fait de jouer quatre-vingt minutes. Aujourd’hui, soit on donne la première mi-temps, et on revient en deuxième mi-temps. Soit c’est l’inverse, comme contre Clermont (20-15, score final). Si on arrive à changer ça, on sera meilleurs.
Quid de votre marge à vous ? Après des matchs de haute facture avec l’Argentine (Rugby Championship et tournée d’automne), vous semblez avoir du mal à retrouver vos sensations en club…
Oui. Je suis rentré contre Montpellier (fin octobre), c'était un match compliqué avec la pluie. Après, la réception de Vannes, on a perdu, j'ai joué dix minutes, je n’étais pas top en conquête, en mêlée…Là, contre Clermont, c'était bien. J'ai encore une nouvelle opportunité (à Perpignan), mais c'est ça, la concurrence. On est quatre piliers (à droite, avec Uini Atonio, Georges-Henri Colombe Reazel et Aleksandre Kuntelia), on joue tous pour notre équipe nationale, il faut travailler. Et si t'es pas au 100%, un autre va réussir […] mais on parle, on s’entraide, on se pousse. Uini nous aide beaucoup. Moi, ça m’aide à progresser.
Et c'est frustrant de ne pas surfer sur votre niveau affiché en sélection ?
J’essaie de ne pas me frustrer parce que sinon… J'essaie de continuer à travailler et monter mon niveau. Contre Vannes, je n’étais pas au même niveau que contre les Blacks ou contre les "Sudafs’". C'est à moi aussi de continuer à pousser.

Joel Sclavi a fait la tournée de novembre avec l'Argentine
Joel Sclavi a fait la tournée de novembre avec l'Argentine LiveMedia / Icon Sport - e

Vous êtes apparu vexé lors de votre remplacement contre Vannes, peu de temps après votre entrée en jeu, non ?
Oui, parce que j'avais envie de jouer ! Tu joues dix minutes et tu sors, c'est compliqué… J'étais énervé contre moi-même, parce que si je ne fais pas de fautes, je ne sors pas.
Vous disiez vous sentir mieux, contre Clermont ?
Oui, on travaille beaucoup avec Gürthro (Steenkamp, entraîneur des avants et de la mêlée de La Rochelle), on fait beaucoup d'extras et ça m'aide beaucoup. Je parle aussi avec Andrés Bordoy (membre du staff des Pumas). On essaie tous les trois de travailler, et je me sens beaucoup mieux. Je me sens à 100%, physiquement. Après, peut-être que c’est mental. Quand je fais une erreur en mêlée, je n'arrive pas à tourner la page.
Racontez-nous votre match face au XV de France, en novembre, où vous étiez en minorité face à vos coéquipiers en club…
Quand j’ai vu Paul (Boudehent), on a fait un "check" et là, déjà, mes coéquipiers argentins m’ont dit : "Oh, on n'a pas de potes ici !" (rires). Après, à chaque mêlée, Uini (Atonio) disait "Oh, arrête de jouer vite", on parlait aussi avec Reda (Wardi), c'était énorme… C'était la première fois, on a beaucoup rigolé, c'était un beau match. C'était bien de jouer contre eux.
Vous êtes redevenu un droitier à part entière ?
C'est mieux. Parce qu’à gauche, ils sont quatre, ils sont tous bons (sourire). Là, je vais essayer de rester à droite. Je préfère à droite. Mais si l'équipe a besoin que je joue à gauche, je suis prêt.
Etes-vous toujours le "Léo Messi de la Rochelle", comme s’amuse parfois à vous surnommer Uini Atonio ?
Non, j’ai… J'ai arrêté (rires). Là, j'essaie de progresser en mêlée. Après, on va voir si je marque des essais. Uini fait tout le temps des blagues
 

Catalan81

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Scalvi il a eu sa guerre 30 ème je m échappe je sors j ai déjà mal au nez mdr. Visca USAP
 

matchico

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il aurai mieux fait de la fermé beria la défoncé en mêlée gros match de nos pilier ce soir
 
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