Depuis huit ans dans la péninsule ibérique, le cœur de la penya Els Valencians bat au rythme des matches de l’USAP.
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Top 14 - Cette penya qui traverse l’Espagne pour voir l’USAP - Lindependant.fr
- Auteur du sujet Articles de presse
- Date de début
Et beh ! Bravo à eux...
(Et moi qui ne fait que très rarement les 250 km qui me sépare de la Cathédrale...
Va falloir que je me bouge un peu
)Top 14 - Cette penya qui traverse l’Espagne pour voir l’USAP
Depuis huit ans dans la péninsule ibérique, le cœur de la penya Els Valencians bat au rythme des matches de l’USAP.
Coup de projecteur sur ce groupe de supporters de Valence, à travers la voix de son cofondateur Jordi Mata Martinez, ce samedi à Perpignan pour assister au match contre le Stade Toulousain.
Jordi, présentez-vous !
Avec Santi Almenar, nous avons créé en 2010, l’unique penya de l’USAP du pays valencien, surnommée aussi Valencians-550 en référence aux kilomètres qui séparent les villes de Valence et de Perpignan. « Rugby et Pays » est notre devise en raison des symboles qui unissent les deux Catalognes : la langue et l’histoire.
Comment êtes-vous devenu aficionado de l’USAP ?
Parce que l’USAP est le plus représentatif des clubs de rugby à XV des pays catalans. C’est un symbole de la catalanité bien qu’il ne soit pas exploité comme le club pourrait le faire en profitant des liens qui nous unissent. Ne serait-ce qu’avec le tourisme.
Sur une terre de football, comment vivre votre passion du rugby ?
Je joue au rugby depuis mes 11 ans. Mes parents n’aimaient guère le football.
Depuis, je suis les rencontres, notamment celles du tournoi des 6-Nations, et l’actualité de l’USAP à travers le petit écran et Internet. Le rugby a une belle marge de progression dans la communauté valencienne et dans toute l’Espagne, il y a plus de clubs et de joueurs, même s’il reste difficile de concurrencer le football quand les médias en font des tonnes au quotidien sur Messi et Cristiano Ronaldo, même s’il a quitté Madrid !
Quels liens entretenez-vous avec les autres penyes usapistes ?
Ils sont réguliers avec celles de Barcelone « Usapista Avant », de Vilanova i la Geltrú « La Lleganya », et dans les Pyrénées-Orientales avec Els Trabucaires et les Barretines. Claude Sanguignol, le responsable des clubs de supporters, a toujours été très attentif à nous.
Enfin… quel est votre programme ce samedi ?
Nous venons en voiture. Le périple est long et onéreux. J’irai bien entendu à la boutique de l’USAP faire le plein de maillots à porter lors des entraînements avec mon équipe de rugby à Valence.
Avec les autres membres d’Els Valencians nous irons boire des bières (avec modération, NDLR) et dîner en compagnie des Trabucaires notamment. Nous ne partirons pas tard, histoire de nous reposer dimanche. Et après cette péripétie, tout le monde au travail lundi !
Propos recueillis par Laura Causanillas
Depuis huit ans dans la péninsule ibérique, le cœur de la penya Els Valencians bat au rythme des matches de l’USAP.
Coup de projecteur sur ce groupe de supporters de Valence, à travers la voix de son cofondateur Jordi Mata Martinez, ce samedi à Perpignan pour assister au match contre le Stade Toulousain.
Jordi, présentez-vous !
Avec Santi Almenar, nous avons créé en 2010, l’unique penya de l’USAP du pays valencien, surnommée aussi Valencians-550 en référence aux kilomètres qui séparent les villes de Valence et de Perpignan. « Rugby et Pays » est notre devise en raison des symboles qui unissent les deux Catalognes : la langue et l’histoire.
Comment êtes-vous devenu aficionado de l’USAP ?
Parce que l’USAP est le plus représentatif des clubs de rugby à XV des pays catalans. C’est un symbole de la catalanité bien qu’il ne soit pas exploité comme le club pourrait le faire en profitant des liens qui nous unissent. Ne serait-ce qu’avec le tourisme.
Sur une terre de football, comment vivre votre passion du rugby ?
Je joue au rugby depuis mes 11 ans. Mes parents n’aimaient guère le football.
Depuis, je suis les rencontres, notamment celles du tournoi des 6-Nations, et l’actualité de l’USAP à travers le petit écran et Internet. Le rugby a une belle marge de progression dans la communauté valencienne et dans toute l’Espagne, il y a plus de clubs et de joueurs, même s’il reste difficile de concurrencer le football quand les médias en font des tonnes au quotidien sur Messi et Cristiano Ronaldo, même s’il a quitté Madrid !
Quels liens entretenez-vous avec les autres penyes usapistes ?
Ils sont réguliers avec celles de Barcelone « Usapista Avant », de Vilanova i la Geltrú « La Lleganya », et dans les Pyrénées-Orientales avec Els Trabucaires et les Barretines. Claude Sanguignol, le responsable des clubs de supporters, a toujours été très attentif à nous.
Enfin… quel est votre programme ce samedi ?
Nous venons en voiture. Le périple est long et onéreux. J’irai bien entendu à la boutique de l’USAP faire le plein de maillots à porter lors des entraînements avec mon équipe de rugby à Valence.
Avec les autres membres d’Els Valencians nous irons boire des bières (avec modération, NDLR) et dîner en compagnie des Trabucaires notamment. Nous ne partirons pas tard, histoire de nous reposer dimanche. Et après cette péripétie, tout le monde au travail lundi !
Propos recueillis par Laura Causanillas
Bravo à eux !
Et au vue de ce qu'il dit dans l'article, Jordi sera ravi d’apprendre qu'il "traverse l'espagne" pour se rendre à Aimé Giral...
Et au vue de ce qu'il dit dans l'article, Jordi sera ravi d’apprendre qu'il "traverse l'espagne" pour se rendre à Aimé Giral...
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