Ah ben là on commence à rentrer dans une discussion sérieuse.
Je te réponds sur ce que je sais, pour le reste, je n'imagine rien.
Les indicateurs sont fixés par les managers et validés par leurs supérieurs. Si le sportif fixe ses indicateurs et qu'ils ne sont pas validés au - dessus, c'est du pipi de chat, pas de la stratégie. Comme je l'ai déjà dit, je ne prétends pas qu'à l'USAP il y ait ou pas ces indicateurs, je n'en sais rien. Ce que je dis c'est que la définition de la stratégie et de ces indicateurs n'est en rien liée au fait que les gens soient "du coin" ou pas. Il y a des nuls locaux et des nuls d'ailleurs et vice versa.
Qu'Etcheto ait été une branque et protégé parce qu'il était un local, je te crois, mais ça ne signifie nullement que ce soit le cas ailleurs et encore moins que ce soit, comme tu le disais au début, une relation de cause à effet.
Pour mémoire, tu as écrit "Je ne suis pas un partisan des locaux qui sont responsables du sportif, ça finit toujours mal."
Je note aussi que maintenant tu te poses la question de la remise en question des joueurs par le staff, ce qui n'était pas le cas dans ton message précédent. Là on est d'accord.
Enfin, pour ne pas être trop long
, je ne défends pas ici spécifiquement Arlettaz, mais je contredis l'idée que "parce que c'est local, ça finit mal". C'est possible, mais sans aucune certitude. On est allé au fond du puits avec un Narbonnais, on est allé en finale avec un entraîneur catalan. Un Gersois accompagné d'un Catalan et d'un Savoyard nous a fait retrouver le Brennus. J'aurais du mal à en tirer une règle générale. En ce moment précis de l'histoire de l'USAP, si la question du staff se pose sérieusement, il faudrait aussi essayer de réfléchir à qui se pointerait pour assurer la mission. Et si on serait mieux servi ou pas. Parce que tirer sur ceux qui sont actuellement aux manettes, c'est facile et en grande partie justifié par les résultats, mais si c'est pour mettre un Labit à la place...
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