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Rugby à XV - Top 14 : "J’ai un peu douté car j’avais mal", confie Tom Ecochard, le demi de...

USAP

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Tom Ecochard, le demi de mêlée de l'USAP sera de retour, samedi 15 mars, à 17 h, à Toulon. Blessé début janvier à la cheville en coupe d'Europe, il a manqué trois moins de compétition. Il revient avec l'envie de peser...

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cazac

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Rugby à XV - Top 14 : "J’ai un peu douté car j’avais mal", confie Tom Ecochard, le demi de mêlée de l'USAP, de retour après trois mois d'absence
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    Tom Ecochard est absent des terrains depuis le début du mois de janvier. L'INDEPENDANT - MICHEL CLEMENTZ
Top 14, Rugby à XV, Sport, Perpignan
Publié le 14/04/2023 à 12:08 , mis à jour à 12:13

Tom Ecochard, le demi de mêlée de l'USAP sera de retour, samedi 15 mars, à 17 h, à Toulon. Blessé début janvier à la cheville en coupe d'Europe, il a manqué trois moins de compétition. Il revient avec l'envie de peser lors des cinq derniers matches décisifs pour le maintien.

Vous faites votre retour après plus de trois mois d’absence. Vous êtes content de retrouver le terrain ?

Je suis très content de retrouver le groupe et de faire ce que j’aime, jouer au rugby. On a des échéances et le temps presse. Il reste cinq matches. On a l’obligation de points et de résultats. À titre individuel, je suis heureux de retrouver ce plaisir ce week-end et de revenir la semaine prochaine à Aimé-Giral, mais je n’ai pas le temps de savourer. Il faut faire des performances rapidement pour aider l’équipe.

Cette blessure a été longue à diagnostiquer…

Pour être transparent, sur les IRM, on n’a pas de suite vu qu’il y avait une fissure osseuse. Au début, on a pensé à une simple entorse. J’ai essayé de revenir pour jouer contre le Stade Français et Brive (fin janvier et début février, NDLR) et finalement, ça a duré trois mois. À la troisième IRM, on a vu qu’il y avait une fracture au niveau d’un os à côté de la cheville. J’ai été immobilisé sept semaines, puis il y a eu trois bonnes semaines de rééducation pour pouvoir postuler.





Vous n’avez plus de gêne ?

Quand on revient, il faut toujours retrouver ses marques. Mais ça va. Je suis à 100 % pour jouer. Après, je dois retrouver mes repères, mais tout va bien.

Vous êtes plusieurs joueurs d'expérience à faire votre retour. C'est important pour l'équipe ?

Oui il y a aussi Mathieu (Acebes, NDLR) qui revient, Piula (Faasalele), Alan (Brazo), Siua (Halanukonuka)... Ce sont pas mal de joueurs qui ont cette fraîcheur mentale et cette envie d’en découdre. Combiné à tous ceux qui ont fait le job ces derniers mois, on a tous envie d’attaquer cette fin de saison palpitante.




Vous avez dû suivre les trois derniers mois à distance du terrain, en tribunes. Comment avez-vous vécu ça ?

C’est toujours difficile d’être blessé. Mais j’ai été heureux de cette dynamique de quatre victoires en cinq matches qui nous a remis dans le droit chemin. C’était bien de voir l’équipe bien marcher, mais on a vite envie d’y regoûter quand on n'y est pas. Je ne cache pas que vivre un Cantem mes fort à guichets fermés dans les tribunes loin des copains, c’est magnifique, mais c’est frustrant. J’ai pris mon mal en patience et j’ai un peu douté car j’avais mal. Ça a été compliqué, mais je suis là, et je suis heureux d’être avec le groupe et mon club pour ces échéances qui vont compter.

Quand vous vous êtes tordu la cheville en début de match contre Glasgow, vous êtes resté sur le terrain jusqu’à la mi-temps. Cela n’a pas aggravé la blessure ?

Je ne sais pas. On ne le saura jamais. Je ne veux pas trop le savoir d'ailleurs. Je suis quelqu’un qui ne renonce pas facilement. À ce moment-là, à chaud, la cheville tenait. Je la sentais partir, j’étais à 60 %, mais c’était jouable. Je ne voulais pas lâcher. À la mi-temps je suis sorti. Le lendemain, elle avait enflé, mais rien d’exceptionnel. C’est comme ça. Maintenant c’est derrière et je suis là.



Guilhem Richaud
 
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