elrik
USAPiste bavard
- Inscrit
- 24 Août 2012
- Messages
- 130
- Réactions
- 76
Alors bien sûr pas de raccourcis trop rapides et faciles en faisant une comparaison avec l'USAP car la taille de la ville de Toulouse, le tissu économique local, le palmarès du ST depuis 30 ans ont une influence certaine mais 12 millions d’euros de bénéfice ça laisse rêveur....!
http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/28/1804202-12-me-de-benefices-reverses-au-stade.html
Une brasserie, six boutiques, une affluence satisfaisante, un stade Ernest-Wallon avec 32 loges de prestige et surtout ce «club des partenaires» où ils se comptent aujourd’hui plus de trois cents, pour des bénéfices directs reversés au club à hauteur de 12 millions d’euros l’an passé. Selon la direction du club, le Stade Toulousain génère un chiffre d’affaires de 35 millions d’euros, le plus important du Top 14. Et vend plus de 120 000 maillots chaque année, les chiffres d’un bon club de football.
Comme le souligne si bien Didier Lacroix, «le marché du marketing sportif est un marché subjectif où l’on vend un produit affectif» et cette logique se retrouve dans tout produit qui assure l’image de marque du Stade Toulousain. À commencer par les partenaires même du Stade que la régie commerciale «A La Une» entend séduire. Pareil au niveau des jeunes, aujourd’hui regroupés au sein du «Petit Cop du Stade Toulousain». Et que dire des braderies régulièrement organisées avec un égal succès auprès des petits et grands ! Les époques changent, mais le marketing des «Rouge et Noir» entend préserver ses valeurs au fil du temps. «Ces valeurs sont notre force, notre fonds de commerce», insiste Didier Lacroix, qui embraye aussitôt sur la création de la compétition européenne initiée par le Stade voilà quelques années, «où l’on a fait venir et grandir des clubs comme Biarritz ou le Stade Français». Des concurrents pour le Stade ? «Non, coupe Lacroix. Pas plus que Toulon, Montpellier ou le Racing Métro. Notre souci à nous, c’est de savoir comment on va évoluer et faire grandir le rugby, le reste on s’en fout !» Reste la conquête des réseaux par le numérique. Et c’est peut-être là qu’un gros travail est à effectuer. «On n’arrive pas à des chiffres assez intéressants pour une vraie valeur vénale de revente avec les réseaux sociaux de type Facebook et Twitter», concède Didier Lacroix.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/28/1804202-12-me-de-benefices-reverses-au-stade.html
Une brasserie, six boutiques, une affluence satisfaisante, un stade Ernest-Wallon avec 32 loges de prestige et surtout ce «club des partenaires» où ils se comptent aujourd’hui plus de trois cents, pour des bénéfices directs reversés au club à hauteur de 12 millions d’euros l’an passé. Selon la direction du club, le Stade Toulousain génère un chiffre d’affaires de 35 millions d’euros, le plus important du Top 14. Et vend plus de 120 000 maillots chaque année, les chiffres d’un bon club de football.
Comme le souligne si bien Didier Lacroix, «le marché du marketing sportif est un marché subjectif où l’on vend un produit affectif» et cette logique se retrouve dans tout produit qui assure l’image de marque du Stade Toulousain. À commencer par les partenaires même du Stade que la régie commerciale «A La Une» entend séduire. Pareil au niveau des jeunes, aujourd’hui regroupés au sein du «Petit Cop du Stade Toulousain». Et que dire des braderies régulièrement organisées avec un égal succès auprès des petits et grands ! Les époques changent, mais le marketing des «Rouge et Noir» entend préserver ses valeurs au fil du temps. «Ces valeurs sont notre force, notre fonds de commerce», insiste Didier Lacroix, qui embraye aussitôt sur la création de la compétition européenne initiée par le Stade voilà quelques années, «où l’on a fait venir et grandir des clubs comme Biarritz ou le Stade Français». Des concurrents pour le Stade ? «Non, coupe Lacroix. Pas plus que Toulon, Montpellier ou le Racing Métro. Notre souci à nous, c’est de savoir comment on va évoluer et faire grandir le rugby, le reste on s’en fout !» Reste la conquête des réseaux par le numérique. Et c’est peut-être là qu’un gros travail est à effectuer. «On n’arrive pas à des chiffres assez intéressants pour une vraie valeur vénale de revente avec les réseaux sociaux de type Facebook et Twitter», concède Didier Lacroix.