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J10 - Le match en direct VANNES - USAP

coll roig a dit:
Contrairement à @Marisol , je ne vois pas de "branlée" à LA RABINE , certes nous pouvons y perdre mais je suis sur qu'ils vont afficher un tout autre visage que celui affiché samedi et qui sait , BEZIERS a bien failli y vaincre déjà là bas !
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Vannes a gagné à Biarritz. Nous y avons perdu
Vannes a confortablement gagné à Nevers. Nous y avons arraché une très courte victoire
A domicile, Vannes a battu Beziers. Nous à AG on s'est fait remuer
Les bretons sont devant nous au classement, il y a quand même une raison ...
 
BN99 a dit:
Vannes a gagné à Biarritz. Nous y avons perdu
Vannes a confortablement gagné à Nevers. Nous y avons arraché une très courte victoire
A domicile, Vannes a battu Beziers. Nous à AG on s'est fait remuer
Les bretons sont devant nous au classement, il y a quand même une raison ...
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Bien sûr.
Mais un carré vert est une carré vert. Sur le début de saison tu crois pas qu'on est nettement devant Béziers ? Et pourtant.
 
Le RC Vannes se présentera sans Abendanon ni Léafa face à Perpignan, jeudi (20 h 45) à La Rabine.

Le RC Vannes devrait présenter, jeudi soir contre Perpignan, un effectif très proche de celui qui avait été le sien lors d’une victoire acquise à Biarritz lors de la dernière journée de championnat.

La seule modification, et non des moindres, concerne l’absence de Nick Abendanon au sein de ce groupe de 25 joueurs, lequel se ressent d’une petite douleur à la cheville et que l’encadrement technique du club a préféré mettre au repos. Bien que le XV de départ n’ait pas encore été déterminé avec précision, il est permis de penser que Pierre Popelin devrait logiquement retrouver son poste à l’arrière et laisser sa place d’ouvreur à Christopher Hilsenbeck. Ce dernier sera associé soit à Pierre Pages, soit à Florian Cazenave.

À lire sur le sujetCloarec : « Le Top 14, un projet à 2023 »
Darren O’Shea est également cité dans ce groupe élargi et pourrait renouer avec la compétition contre Perpignan. Ce qui vaut encore pour Théo Béaziat, puisque Pat Léafa ne figure pas dans cet ensemble. A noter également le retour d’Antoine Abraham.

Le groupe de Jean-Noël Spitzer effectuera une mise en place ce mercredi en fin de matinée sur la pelouse de La Rabine. La pelouse du stade d’entraînement à Jo Courtel est, elle, très grasse et glissante, d’où cette délocalisation.

Le groupe : Popelin, Duplenne, Dubreuil, Curtis, Pauvert, Burgaud, Holder, Pages, Hilsenbeck, Cazenave, Abiven, Edwards, Iachizzi, Bazin Picault, Bolénaivalu, Picquette, Marks, O’Shea, Abraham, Blanchard, Béziat, Tafili, Sénéca, Kité.

https://www.letelegramme.fr/rugby/rc-vannes/le-rc-vannes-sans-abendanon-ni-leafa-face-a-perpignan-17-11-2020-12658192.php

Pas d'Abendanon donc, ni du talonneur Leafa. Trois anciens de la maison : Flo Cazenave, Edoardo Iachizzi et Wandrille Picault !
 
coll roig a dit:
Contrairement à @Marisol , je ne vois pas de "branlée" à LA RABINE , certes nous pouvons y perdre mais je suis sur qu'ils vont afficher un tout autre visage que celui affiché samedi et qui sait , BEZIERS a bien failli y vaincre déjà là bas !
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A part l'an passé où ils avaient fait tourner je crois me souvenir, les confrontations USAP Vannes ont toujours été très serrées avec des écarts entre 1 et 6 points. Et quelques souvenirs mémorables comme la pénalité de Séguy ou ce spectaculaire USAP Vannes de 2017 conclu 39-34.
Nous restons d'ailleurs sur quatre victoires contre Vannes. La seule défaite remonte à notre première confrontation en 2016.
 
Quel club Vannes quand même. En 2015 ils accèdent au D2, en 2019 en demi-finale, un stade souvent plein, un budget sans cesse en augmentation 2017/2018 5,71 millions, 2018/2019 7 millions, aujourd'hui pas loin de 8 millions, des liens avec le Racing, un recrutement malin (Phelipponneau ex Castres et Agen, Dumas ex Oyonnax, O'Shea ex Munster, Pagés ex Toulouse, Saseras ex Grenoble, Abendonadon ex Clermont).
Très beau club que Vannes, je leur souhaite le meilleur. Par moment j'ai l’impression de nous revoir il y a quelques années avec un stade bouillant, un club qui se structure, des budgets sans cesse à la hausse, et un recrutement malin. Une dynamique vertueuse.
 
Bon allez encore un petit peu d'analyse géo politique sur ce rugby du nord de la Garonne, avant d'endosser mon costume de supporteur Catalan n'imaginant pas autre chose que la victoire chez les bigoudens, sinon autant ne pas suivre cette compétition.

Ce que j'ai pu constaté, c'est que le public breton s'est inspiré de ce qui se fait de mieux dans le monde de l'ovalie international français : Le public de l'USAP. Je ne suis pas près d'oublier la bronca de 3 minutes qui a rythmé la pénalité de Séguy à la fin du temps règlementaire, on se serait cru à la maison. Tu parles d'un public respectueux !

Alors les zamis, selon santgaldric Vannes tout comme Nevers ou Rouen 2 clubs qui sont dirigés par des millionnaires, font beaucoup pour l'essor de ce sport hors de sa zone de confort.

Les bretons eux pour arriver en D2, ils ont pris leur temps, 30 ans c'est dingue, quelle patience, quel boulot.
Ils sont premiers actuellement dans ce championnat gruyère qui ne veut pas dire grand chose.
Les veinards 0 impact COVID dans leur calendar alors que nous, nous avons pu voir l'effet non impulse contre les héraultais. Pensée émue aux landais de M2M.

Ils finiront dans les 6 sans doute, mais pour moi aucune chance qu'ils accèdent au Top14, ce ne serait pas un cadeau, ce qu'ils produisent depuis 1 ou 2 ans s'apparente déjà à un petit miracle.
Jouer en master class serait sans doute le début de la fin en saccageant son équilibre financier et la philosophie que semble vouloir prôner ce club, un peu à l'image Oyonnax d'ailleurs.

Le travail que font les dirigeants et le staff sportif va ancrer ce club dans la haut de la Pro D2, qu'ils bâtissent sur des fondations solides. Ils s'appuient sur une formation locale après avoir récupéré il y a 5 ou 6 ans des jeunes JIFF de Top 14 que les clubs de l'élite ne souhaitaient pas conserver, comme quoi la D2 est peut-être moins kon que le Top14.

Mais tout n'est pas si facile, tout ne tient qu'à un fil comme dirait l'autre, car en Bretagne comme en Normandie le haut niveau est inexistant, c'est donc un travail acharné pour fidéliser le public et un travail de détection décuplé chez les moins de 15 ans, sans parler des frais de déplacements.
Donc quid de la pérennité de ces clubs si jamais...... à l'image d'un Lille ou d'un Strasbourg.
 
Dernière édition:
santgaldric a dit:
Bon allez encore un petit peu d'analyse géo politique sur ce rugby du nord de la Garonne, avant d'endosser mon costume de supporteur Catalan n'imaginant pas autre chose que la victoire chez les bigoudens, sinon autant ne pas suivre cette compétition.

Ce que j'ai pu constaté, c'est que le public breton s'est inspiré de ce qui se fait de mieux dans le monde de l'ovalie international français : Le public de l'USAP. Je ne suis pas près d'oublier la bronca de 3 minutes qui a rythmé la pénalité de Séguy à la fin du temps règlementaire, on se serait cru à la maison. Tu parles d'un public respectueux !

Alors les zamis, selon santgaldric Vannes tout comme Nevers ou Rouen 2 clubs qui sont dirigés par des millionnaires, font beaucoup pour l'essor de ce sport hors de sa zone de confort.

Les bretons eux pour arriver en D2, ils ont pris leur temps, 30 ans c'est dingue, quelle patience, quel boulot.
Ils sont premiers actuellement dans ce championnat gruyère qui ne veut pas dire grand chose.
Les veinards 0 impact COVID dans leur calendar alors que nous, nous avons pu voir l'effet non impulse contre les héraultais. Pensée émue aux landais de M2M.

Ils finiront dans les 6 sans doute, mais pour moi aucune chance qu'ils accèdent au Top14, ce ne serait pas un cadeau, ce qu'ils produisent depuis 1 ou 2 ans s'apparente déjà à un petit miracle.
Jouer en master class serait sans doute le début de la fin en saccageant son équilibre financier et la philosophie que semble vouloir prôner ce club, un peu à l'image Oyonnax d'ailleurs.

Le travail que font les dirigeants et le staff sportif va ancrer ce club dans la haut de la Pro D2, qu'ils bâtissent sur des fondations solides. Ils s'appuient sur une formation locale après avoir récupéré il y a 5 ou 6 ans des jeunes JIFF de Top 14 que les clubs de l'élite ne souhaitaient pas conserver, comme quoi la D2 est peut-être moins kon que le Top14.

Mais tout n'est pas si facile, tout ne tient qu'à un fil comme dirait l'autre, car en Bretagne comme en Normandie le haut niveau est inexistant, c'est donc un travail acharné pour fidéliser le public et un travail de détection décuplé chez les moins de 15 ans, sans parler des frais de déplacements.
Donc quid de la pérennité de ces clubs si jamais...... à l'image d'un Lille ou d'un Strasbourg.
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TRES BELLE ANALYSE
 
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