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"Le jour où j'ai disjoncté" : allez Richard, montre-nous tes fesses !
Par Midi Olympique
TOP 14 - Longtemps, Richard Dourthe fut le meilleur réalisateur du championnat. Jusqu’en 2008, il en fut aussi l’un des personnages les plus attachants. Aujourd’hui, il revient pour nous sur ce jour de printemps où il devint la bête noire, puis le meilleur ami, des supporters de l’Usap…
Au printemps 2002, les phases finales du championnat s’appellent encore « play-off » et en ce mois d’avril, Béziers et Perpignan se retrouvent donc pour un « aller-retour » un poil volcanique, eu égard à la rivalité existant depuis toujours entre ces deux clubs voisins. Richard Dourthe, alors membre d’une fière équipe de l’ASBH où cohabitaient, entre autres, Arnaud Costes, Richard Castel, Sébastien Bruno, Guy Jeannard ou Philippe Escalle, est en ce temps-là le numéro 15 du club dirigé par la famille Nicollin.
Il raconte en préambule : "Je n’ai rien oublié de cette double confrontation contre l’Usap. À l’aller, au stade de la Méditerrannée, j’avais mis tous les points au pied et la pénalité de la gagne. […] C’était un derby, les supporters étaient bouillants et juste derrière moi, les Catalans ne m’avaient pas lâché du match. Tous les noms d’oiseaux y étaient passés : « Enculé ! Fils de Pute ! Imbécile ! » Au départ, ça m’avait fait marrer."
Jusqu’à ce que le seul fils de Claude Dourthe, en chemin pour se replacer sous ses poteaux, s’agace et décide de provoquer un peu plus les Sang et Or : "Il restait trois minutes à jouer. On menait au score et derrière moi, mes potes de Catalogne étaient toujours déchaînés. Alors, pour les faire taire, je les ai appelés et, quand ils se sont tournés vers moi, j’ai baissé mon short et remué mon popotin ! Rien que pour eux !"
Si un abonné du Midol a la suite, je crois que tout le monde est preneur !
Par Midi Olympique
TOP 14 - Longtemps, Richard Dourthe fut le meilleur réalisateur du championnat. Jusqu’en 2008, il en fut aussi l’un des personnages les plus attachants. Aujourd’hui, il revient pour nous sur ce jour de printemps où il devint la bête noire, puis le meilleur ami, des supporters de l’Usap…
Au printemps 2002, les phases finales du championnat s’appellent encore « play-off » et en ce mois d’avril, Béziers et Perpignan se retrouvent donc pour un « aller-retour » un poil volcanique, eu égard à la rivalité existant depuis toujours entre ces deux clubs voisins. Richard Dourthe, alors membre d’une fière équipe de l’ASBH où cohabitaient, entre autres, Arnaud Costes, Richard Castel, Sébastien Bruno, Guy Jeannard ou Philippe Escalle, est en ce temps-là le numéro 15 du club dirigé par la famille Nicollin.
Il raconte en préambule : "Je n’ai rien oublié de cette double confrontation contre l’Usap. À l’aller, au stade de la Méditerrannée, j’avais mis tous les points au pied et la pénalité de la gagne. […] C’était un derby, les supporters étaient bouillants et juste derrière moi, les Catalans ne m’avaient pas lâché du match. Tous les noms d’oiseaux y étaient passés : « Enculé ! Fils de Pute ! Imbécile ! » Au départ, ça m’avait fait marrer."
Jusqu’à ce que le seul fils de Claude Dourthe, en chemin pour se replacer sous ses poteaux, s’agace et décide de provoquer un peu plus les Sang et Or : "Il restait trois minutes à jouer. On menait au score et derrière moi, mes potes de Catalogne étaient toujours déchaînés. Alors, pour les faire taire, je les ai appelés et, quand ils se sont tournés vers moi, j’ai baissé mon short et remué mon popotin ! Rien que pour eux !"
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