Cette semaine il y avait une réunion sur le sujet.
Voici quelques éléments à la sortie de cette réunion de « présentation ».
Le centre d’entraînement va avoir du retard. En effet, à l’origine du projet au Vernet, l’espérance fut que les structures soient opérationnels pour le début de saison. Puis avec les demandes des uns et des autres, les modifications, etc… il y a eu une décalage avec l’envie de tous que le projet sorte de terre pour fin d’année 2024 voir début 2025.
Le calendrier ne sera donc pas respecté et désormais l’espoir est que les structures voient le jour l’été prochain afin que l’équipe puisse utiliser les infrastructures pour la prochaine préparation.
Il faut que dire que le club n’est pas maître d’œuvre ni même maître d’ouvrage. Il convient donc de respecter les délais des marchés publics, des respecter des procédures.
Concernant les structures il va y avoir trois types de bâtiments (voir quatre). Un bâtiment en « dur », des modulables neufs, et un transfert des modulables du Parc des Sports avec André Sanac. Et enfin un nouvel aménagement des vestiaires d’André Sanac pour accueillir les jeunes.
C’est à dire que tout va être centralisé sur l’unité de lieu (comme aime le dire FR) mais dans des bâtiments différents et donc se « promener » entre d’un côté la salle des soins, la muscu, les vestiaires, etc…
À cela il faudra compter sur une nouvelle pelouse synthétique et l’autre reste la même qu’aujourd’hui.
À ma grande surprise (et pas que la mienne), les terrains du centre d’entraînement et de formation devraient être utilisé également en « dehors » des pro et de la formation les week-ends par exemple.
En off, ça coince! Certains notes déjà le manque de « place », ou encore le fait que ce centre soit accessible le week-end par exemple.
Mon avis: je suis plutôt partager. D’un côté je pense qu’il faut se réjouir qu’enfin le club bénéficie d’infrastructures d’entraînement « digne », mieux qu’un camping comme aujourd’hui, et de l’autre côté je regrette que ça soit un centre d’entraînement fait à « minima » que de toute façon sera encore très loin des infrastructures des autres clubs de Top14.
En conclusion : nous grignotons notre retard mais ça reste à des années lumières de ce qu’il existe à l’ASM, le RCT ou La Rochelle.
Chacun y verra soit le verre à moitié plein soit le verre a moitié vide. Et dans le même temps, dès lors que tout repose sur le financement public, connaissant la situation économique des CT, c’est pas illogique.