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Absolument, cela s'appelle des variations mais la puissance reste la puissance ... L'autre ne parle même pas de travail W puisqu'il n'a jamais travaillé !C'est tout à fait vrai ce que tu dis. Mais c'est vrai pour une boule de pétanque, une voiture... Pas un homme. Enfin si, un homme, à condition que il rentre droit comme un i, sans aucun changement de direction, à vitesse constante dans un objet.
Même les joueurs avec les courses les plus rectilignes ne font pas ça. Ils rentrent avec une certaine posture, et surtout une mobilité. Je sais quel terme associé à ça, j'ai toujours appelé ça la capacité à la violence. Mais de manière positive. La capacité à induire de la violence dans un impact. Celle qui fait que maigres les 15 kilos d'écart entre les deux, chacun ici préfère croiser Saiwalau que Mafi. ( et encore ça c'est pour la partie visible si faut Saiwalau fait plus mal j'en sais rien). C'est peut être ce que Faust appelle l'explosivité, je ne sais pas. Mais je préfère garder ce terme pour d'autres choses, notamment la capacité d'accélération. Car cette capacité à la violence est pour moi une combinaison entre l'explosivité et une grande technique à l'impact.
A coté de ça le bulbe du mec compte. Supposons Tom et Tim. Chacun court à une vitesse U et fait une masse M. Théoriquement ils ont la même puissance. Mais si Tom pète droit dans Fa'aso'o, alors que Tim trouve un angle intéressant entre McIntyre et Ecochard, ils vont pas faire le même nombre de mètre.
Et finalement c'est ce qui nous intéresse. Si un type dégage une puissance énorme mais que il fait jamais un mètre : on s'en branle !
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