DAMINOS 66
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Je suis d'accord en partie, dans le sens que l'essentiel des grandes villes qui sont (re)venues en top 14 se trouvent dans des régions de rugby: pour faire simple, au sud de la loire ou bassin parisien, donc des régions qui avaient déja cette culture rugby. On a pas vu des lille strasbourg et nantes débarquer en top 14, ....pour le moment en tout cas. Mais toujours est-il que le phénomène est indiscutable: beaucoup de grandes villes ont pris la place de villes dites moyennes par différence de moyens disponibles et mobilisés.L'équation est tout de même un petit peu plus complexe qu'un rapport au bassin de population il faut préciser l'implication de cette population en termes de.pouvoir d'achat/conso, mais aussi de participation sportive ( le club beneficie-t-il d'un vivier en qualité et en quantité pour réduire les depenses en achat et salaire, notamment), et introduire des variables telles que le milieu économique local, l'attractivité sportive et donc par développement l'attractivité communicationnelle donc économique, ainsi que la qualité des investissements (dont diversification et solidité des apports locaux/extérieurs), etc etc etc...
cela dit l'attractivité du rugby va croissant dans l'hexagone avec les résultats de l''équipe de france et de nos clubs en coupe d'europe et un effet coupe du monde (victoire de la france?) peut booster l'intérêt de développer des gros clubs au nord de la Loire à moyen terme. Le potentiel existe en tout cas.